Nous retrouvons notre dossier spécial sur la nourriture et les effets sur le cerveau.

La nourriture a un effet sur le cerveau et sur nos réactions, on peut voir sur la photo ci-joint qu’il y a certains éléments qui nous incitent à plus consommer que d’autres.

Au cours d’une alimentation normal nos intestins libèrent des hormones stimulant l’appétit puis plus nous mangeons et remplissons nos intestins plus le corps va sécréter des hormones alertant notre cerveau de notre satiété la nourriture devient moins appétissante cela va arrêter l’envie de manger à l’individu comme on peut le voir sur notre schéma.

Lorsque les aliments sont trop gras et sucrés, ces derniers incitent le striatum à synthétiser plus d’endorphine, ce sont des molécules de synthèses similaires à la morphine c’est ce qui est généralement à l’origine du Bing fooding (le fait de trop manger). Les endorphines amplifient la sécrétion d’endorphine. Cela incitera l’individu a consommer plus sans prendre en compte les hormones de satiétés.

Comme pour les toxicomanes, des médecins souhaitent mettre en place une molécule qui stoppe les interactions dans le cerveau afin de lutter contre l’obésité. Le refuge dans la nourriture est souvent un des facteurs liés à cette maladie, la nourriture faisant office de refuge devenant un cercle vicieux, toujours besoin de manger afin de se sentir bien. L’idée reçu que les personnes obèses n’ont pas de volonté est donc fausse dans certains cas nous avons à faire à une défaillance du système cérébral.

Plus on consomme plus nos besoins en nourriture augmentent.

 Plus le sujet consomme des aliments trop gras, trop sucrés, trop salés, plus son cerveau secrètera de la dopamine et plus il sera habitué à recevoir de la dopamine en grande quantité, suite à cela sa dopamine descend à un niveau très faible ce qui conduit le sujet a consommer d’avantage de nourriture afin d’obtenir sa dose de dopamine.

L’effet de stimulation de la zone de récompense provoqué par la malbouffe n’est pas possible avec les légumes.

D’ailleurs, de nombreuses personnes obèses sont si démunies qu’elles en viennent elles-mêmes à tenter des procédures risquées, comme la pose d’un anneau gastrique, censée les aider à contrôler leur appétit. Ce qui, souvent, ne les empêche pas de trop manger et se solde par un échec.

Ce cercle vicieux de mauvaises habitudes qui provoquent trop peu de plaisir quand on mange, des tentatives d’évitement et des rechutes res­semble beaucoup à celui de l’addiction aux dro­gues. De sorte que la plupart des scientifiques considèrent maintenant que l’obésité serait due à un puissant désir de satisfaire le centre de la récompense du cerveau. Les désordres hormo­naux et métaboliques dont sont victimes les per­sonnes obèses seraient une conséquence de leur surpoids, plutôt qu’une cause.

Des médicaments sont en cours d’élaboration, certains existent déjà et sont autorisés en Europe, mais comme avec tout nouveau médicament il y a des effets secondaires tel que la sensation de dépression augmentant les pensées suicidaires chez les patients ce qui a poussé les autorités européennes à retirer le médicament du marché.

 

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